Une journée de congé parsemée de petits jeux avec les enfants et mon père…

• Le tango de Tarentule. Ça y est ! Je n'ai plus de problème avec les perroquets. Quand il faut taper au milieu pour cause de tarentule, c'est autre chose. Nicolas a toujours le même problème lorsqu'une carte double apparaît, mais malgré ces petites erreurs, il finit loin devant.

• Fast Food. C'est l'heure de la raclée que Nicolas nous inflige à chaque fois à ce jeu. Il est toujours très rapide et il fait peu d'erreurs. Je ne fais pas beaucoup d'erreurs, mais qu'est-ce que je peux être lent.

• Finca. Contrairement à ce que l'on avait vu dans nos précédentes parties, c'était très disputé et la prise de certaines tuiles furent très tendues. Nicolas monopolise plusieurs chariots et oblige donc Élisa a dépenser son jeton d'action spéciale pour faire une livraison que mon père aurait faite le cas échéant.

Les déplacements sur la roue sont réfléchis pour ne pas favoriser les autres, et on est arrivé plusieurs fois dans la situation ou une variété de fruit est complètement épuisée. Dans ce cas, tous les stocks des joueurs doivent être rendus à la réserve générale et seul celui qui a fait le déplacement reçoit ses fruits, ce qui a gâché de nombreux projets.

Une autre situation particulière est parvenue avec quatre pions sur une case et huit pions sur une autre. Ce qui a généré les nombreuses remises à niveau des stocks puisque l'on pouvait se déplacer de quatre pour avoir huit oranges ou bien se déplacer de huit pour avoir quatre olives.

• Korsar. Ça faisait longtemps, tiens. Excellente seconde partie de Nicolas qui a attendu de voir les deux capitaines qu'il n'avait pas en main être joués. S'il a attendu, c'est pour être sûr que les siens soient synonymes de victoire. Et en parlant de victoire, j'étais loin de l'atteindre dans les deux parties.